La Dame de Monsoreau

Alexandre Dumas

La Dame de Monsoreau

Le Siècle, 1846.

Chapitre I^er. 

Les noces de Saint-Luc 

 1

Chapitre II. 

Comment ce n’est pas toujours celui qui ouvre la porte qui entre dans la maison 

 6

Chapitre III. 

Comment il est difficile parfois de distinguer le rêve de la réalité 

 10

Chapitre IV. 

Comment mademoiselle de Brissac, autrement dit madame de Saint-Luc, avait passé sa nuit de noces 

 12

Chapitre V. 

Comment mademoiselle de Brissac, autrement dit madame de Saint-Luc, s’arrangea pour passer la seconde nuit de ses noces autrement qu’elle n’avait passé la première 

 14

Chapitre VI. 

Comment se faisait le petit coucher du roi Henri III 

 17

Chapitre VII. 

Comment, sans que personne sût la cause de cette conversion, le roi Henri se trouva converti du jour au lendemain 

 19

Chapitre VIII. 

Comment le roi eut peur d’avoir eu peur, et comment Chicot eut peur d’avoir peur 

 21

Chapitre IX. 

Comment la voix du Seigneur se trompa et parla à Chicot, croyant parler au roi 

 24

Chapitre X. 

Comment Bussy se mit à la recherche de son rêve, de plus en plus convaincu que c’était une réalité 

 25

Chapitre XI. 

Quel homme c’était que M. le grand veneur Bryan de Monsoreau 

 29

Chapitre XII. 

Comment Bussy retrouva à la fois le portrait et l’original 

 33

Chapitre XIII. 

Ce que c’était que Diane de Méridor 

 35

Chapitre XIV. 

Ce que c’était que Diane de Méridor. — Le Traité 

 41

Chapitre XV. 

Ce que c’était que Diane de Méridor. — Le Mariage 

 45

Chapitre XVI. 

Ce que c’était que Diane de Méridor. — Le Mariage 

 47

Chapitre XVII. 

Comment voyageait le roi Henri III, et quel temps il lui fallait pour aller de Paris à Fontainebleau 

 49

Chapitre XVIII. 

Où le lecteur aura le plaisir de faire connaissance avec frère Gorenflot, dont il a déjà été parlé deux fois dans le cours de cette histoire 

 54

Chapitre XIX. 

Comment Chicot s’aperçut qu’il était plus facile d’entrer dans l’abbaye Sainte-Geneviève que d’en sortir 

 58

Chapitre XX. 

Comment Chicot, forcé de rester dans l’église de l’abbaye, vit et entendit des choses qu’il était fort dangereux de voir et d’entendre 

 61

Chapitre XXI. 

Comment Chicot, croyant faire un cours d’histoire, fit un cours de généalogie 

 66

Chapitre XXII. 

Comment M. et madame de Saint-Luc voyageaient côte à côte et furent rejoints par un compagnon de voyage 

 68

Chapitre XXIII. 

Le vieillard orphelin 

 72

Chapitre XXIV. 

Comment Remy-le-Haudouin s’était, en l’absence de Bussy, ménagé des intelligences dans la maison de la rue Saint-Antoine 

 74

Chapitre XXV. 

Le père et la fille 

 77

Chapitre XXVI. 

Comment frère Gorenflot se réveilla, et de l’accueil qui lui fut fait à son couvent 

 79

Chapitre XXVII. 

Comment frère Gorenflot demeura convaincu qu’il était somnambule, et déplora amèrement cette infirmité 

 81

Chapitre XXVIII. 

Comment frère Gorenflot voyagea sur un âne nommé Panurge, et apprit dans son voyage beaucoup de choses qu’il ne savait pas 

 84

Chapitre XXIX. 

Comment frère Gorenflot troqua son âne contre une mule, et sa mule contre un cheval 

 86

Chapitre XXX. 

Comment Chicot et son compagnon s’installèrent à l’hôtellerie du Cygne de la Croix, et comment ils y furent reçus par l’hôte 

 88

Chapitre XXXI. 

Comment le moine confessa l’avocat, et comment l’avocat confessa le moine 

 91

Chapitre XXXII. 

Comment Chicot, après avoir fait un trou avec une vrille, en fit un avec son épée 

 94

Chapitre XXXIII. 

Comment le duc d’Anjou apprit que Diane de Méridor n’était point morte 

 97

Chapitre XXXIV. 

Comment Chicot revint au Louvre et fut reçu par le roi Henri III 

 99

Chapitre XXXV. 

Ce qui s’était passé entre monseigneur le duc d’Anjou et le grand veneur 

 102

Chapitre XXXVI. 

  

 104

Chapitre XXXVII. 

Ce que venait faire M. de Guise au Louvre 

 107

Chapitre XXXVIII. 

Castor et Pollux 

 108

Chapitre XXXIX. 

Comment il est prouvé qu’écouter est le meilleur moyen pour entendre 

 111

Chapitre XL. 

La Soirée de la Ligue 

 113

Chapitre XLI. 

La rue de la Ferronnerie 

 116

Chapitre XLII. 

Le Prince et l’Ami 

 118

Chapitre XLIII. 

Étymologie de la rue de la Jussienne 

 121

Chapitre XLIV. 

Comment d’Épernon eut son pourpoint déchiré, et comment Schomberg fut teint en bleu 

 123

Chapitre XLV. 

Chicot est de plus en plus roi de France 

 125

Chapitre XLVI. 

Comment Chicot fit une visite à Bussy et de ce qui s’ensuivit 

 127

Chapitre XLVII. 

Les Échecs de Chicot, le Bilboquet de Quélus et la Sarbacane de Schomberg 

 130

Chapitre XLVIII. 

Comment le roi nomma un chef à la Ligue, et comment ce ne fut ni Son Altesse le duc d’Anjou ni monseigneur le duc de Guise 

 132

Chapitre XLIX. 

Comment le roi nomma un chef qui n’était ni Son Altesse le duc d’Anjou ni monseigneur le duc de Guise 

 134

Chapitre L. 

Étéocle et Polynice 

 136

Chapitre LI. 

Comment on ne perd pas toujours son temps en fouillant dans les armoires vides 

 138

Chapitre LII. 

Ventre Saint-Gris 

 140

Chapitre LIII. 

Les Amies 

 142

Chapitre LIV. 

Les Amants 

 143

Chapitre LV. 

Comment Bussy trouva trois cents pistoles de son cheval et le donna pour rien 

 146

Chapitre LVI. 

Diplomatie de M. le duc d’Anjou 

 147

Chapitre LVII. 

Diplomatie de M. de Saint-Luc 

 149

Chapitre LVIII. 

Une volée d’Angevins 

 153

Chapitre LIX. 

Roland 

 155

Chapitre LX. 

Ce que venait annoncer M. le comte de Monsoreau 

 157

Chapitre LXI. 

Comment le roi Henri III apprit la fuite de son frère bien-aimé le duc d’Anjou et de ce qui s’ensuivit 

 159

Chapitre LXII. 

Comment Chicot et la Reine-Mère se trouvant être du même avis, le roi se rangea à l’avis de Chicot et de la Reine-Mère 

 161

Chapitre LXIII. 

Où il est prouvé que la reconnaissance était une des vertus de M. de Saint-Luc 

 163

Chapitre LXIV. 

Le projet de M. de Saint-Luc 

 166

Chapitre LXV. 

Comment M. de Saint-Luc montra à M. de Monsoreau le coup que le roi lui avait montré 

 167

Chapitre LXVI. 

Où l’on voit la Reine-Mère entrer peu triomphalement dans la bonne ville d’Angers 

 169

Chapitre LXVII. 

Les petites causes et les grands effets 

 171

Chapitre LXVIII. 

Comment M. de Monsoreau ouvrit, ferma et rouvrit les yeux, ce qui était une preuve qu’il n’était pas tout à fait mort 

 173

Chapitre LXVIX. 

Comment le duc d’Anjou alla à Méridor pour faire à madame de Monsoreau des compliments sur la mort de son mari, et comment il trouva M. de Monsoreau qui venait au-devant de lui 

 174

Chapitre LXX. 

Du désagrément des litières trop larges et des portes trop étroites 

 176

Chapitre LXXI. 

Dans quelles dispositions était le roi Henri III quand M. de Saint-Luc reparut à la cour 

 178

Chapitre LXXII. 

Où il est traité de deux personnages importants de cette histoire, que le lecteur avait depuis quelque temps perdus de vue 

 180

Chapitre LXXIII. 

  

 182

Chapitre LXXIV. 

Comment l’ambassadeur de M. le duc d’Anjou arriva à Paris, et de la réception qui lui fut faite 

 184

Chapitre LXXV. 

Lequel n’est autre chose que la suite du précédent écourté par l’auteur pour cause de fin d’année 

 185

Chapitre LXXVI. 

Comment M. de Saint-Luc s’acquitta de la commission qui lui avait été donnée par Bussy 

 187

Chapitre LXXVII. 

En quoi M. de Saint-Luc était plus civilisé que M. de Bussy, des leçons qu’il lui donna, et de l’usage qu’en fit l’amant de la belle Diane 

 189

Chapitre LXXVIII. 

Les précautions de M. de Monsoreau 

 191

Chapitre LXXIX. 

Une visite à la maison des Tournelles 

 192

Chapitre LXXX. 

Les Guetteurs 

 194

Chapitre LXXXI. 

Comment M. le duc d’Anjou signa, et comment, après avoir signé, il parla 

 196

Chapitre LXXXII. 

Une promenade aux Tournelles 

 199

Chapitre LXXXIII. 

Où Chicot s’endort 

 200

Chapitre LXXXIV. 

Où Chicot s’éveille 

 202

Chapitre LXXXV. 

La Fête-Dieu 

 203

Chapitre LXXXVI. 

Lequel ajoutera encore à la clarté du chapitre précédent 

 205

Chapitre LXXXVII. 

La Procession 

 208

Chapitre LXXXVIII. 

Chicot I^er 

 210

Chapitre LXXXIX. 

Les Intérêts et le Capital 

 211

Chapitre XC. 

Ce qui se passait du côté de la Bastille, tandis que Chicot payait ses dettes à l’abbaye Sainte-Geneviève 

 213

Chapitre XCI. 

L’Assassinat 

 214

Chapitre XCII. 

Comment frère Gorenflot se trouva plus que jamais entre la potence et l’abbaye 

 218

Chapitre XCIII. 

Où Chicot devine pourquoi d’Épernon avait du sang aux pieds et n’en avait pas aux joues 

 220

Chapitre XCIV. 

Le matin du combat 

 222

Chapitre XCV. 

Les amis de Bussy 

 224

Chapitre XCVI. 

Le combat 

 226

Chapitre XCVII. 

Conclusion 

 228

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