я желаю знать: желает ли он, да или нет, иметь мою повесть по 250 р. за лист? Не считайте меня ветренником, любезный Василий Петрович; я не хватился у вас, а теперь только обдумал, что это решительно ни на что не похоже и невозможно.
Вам я приеду читать ее завтра, но ежели Катков хочет слышать или прочесть ее, то или он должен прежде согласиться на мои условия, или отказаться от повести.
Впервые опубликовано в ТПТ, 5, стр. 64—65. Датируется предположительно «5—8? апреля», так как 5 апреля Толстой кончил «Семейное счастье», а 9-го уехал в Ясную Поляну (см. след. письмо).
1 Речь идет о «Семейном счастье», предназначавшемся для журнала М. Н. Каткова «Русский вестник».
1859 г. Апреля 9. Москва.
Chère tante!
Je suis encore indécis, si je partirais aujourd’hui ou non, c’est pour cela, que je vous écris. En tout cas vous aurez de mes nouvelles pour Pâcques. Христос воскресе! J’ai fini mon affaire à la banque, mes comptes sont réglés, j’ai payé quelques dettes et j’ai dépensé le reste qui n’était pas beaucoup de chose. De sorte que je n’ai pas d’argent pour le moment. Mais ce n’est pas cela qui me retient. D’un côte je voudrais passer les fêtes avec vous et Marie, et je crains que mon хозяйство, n’aille mal sans moi, mais aussi j’avais commencé à faire mes devotions, j’ai fait une nouvelle,1 que je voudrais imprimer devant moi et de nouveau j’ai imprimé dans la gazette qu’il me faut un intendant et que je vends Грецовка et je ne voudrais pas manquer les intendants et les acheteurs qui viendront ces jours-ci. — J’ai passé à Pétersbourg 10 jours des plus agréables avec Alexandrine qui vous salue beaucoup ainsi que Mariе. Le reste du temps à Moscou j’ai beaucoup travaillé et j’ai été un peu malade. Mais à présent je vais très bien. — Vous ne m’écrivez rien sur vous. Je sais que vous avez été soufrante cet hiver et cela
