Страница:Современная жрица Изиды (Соловьев).pdf/267

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А потому… а потому отъ меня требовалось, — и m-me де-Морсье поручалось сообщить мнѣ это, — чтобы я немедленно прислалъ въ Эльберфельдъ оффиціальное письмо, въ которомъ бы заявилъ, что всѣ мои разоблаченія «madame» — съ моей стороны ложь и клевета на нее, и что я отъ всего этого отказываюсь. Если же я не исполню приказанія, то сейчасъ же мнѣ будетъ устроенъ, такъ или иначе, такой публичный скандалъ, который погубитъ меня и мою семью.

Въ заключеніе Гебгардъ совѣтовалъ m-me де-Морсье никому не показывать «документы по дѣлу Блаватской» (le dossier Blavatsky), такъ какъ главный ея обвинитель — сумасшедшій.

M-me де-Морсье отвѣчала Гебгарду: «Je dois vous dire que je n’ai nullement l’intention de servir d’intermédiaire entre m-me Blavatsky et m-r Solovioff. Cependant, pour cette fois, puisque c’est vous qui avez cru devoir m’écrire en ami, vous me permettrez de vous répondre quelques mots. En premier lieu les affaires de la Société Théosophique ne me regardent plus, puisque j’ai donné ma démission de membre. C’est avec un soupir de soulagement que j’ai tiré une barre sur tout cela rendant grâce au Ciel. Quant aux preuves nouvelles que vous m’apportez sur le débat en question, avec un peu de réflexion vous comprendrez qu’elles n’ont pas de valeur pour moi. M-r Sol. est notre ami, il a vécu pendant des mois dans l’intimité de notre famille, nous avons donc quelques raisons de prétendre le connaitre fort bien. M-me Y. et sa fille (bien que j’aie vu la première quelques jours à Paris) sont de parfaites étrangères pour moi et leur parole ne peut pas tenir en face de celle de m-r Sol. Lorsque m-r Sol. viendra me dire à moi même ou m’écrira ce que vous prétendez qu’il a dit à m-me Y. — nous verrons, mais je suis fort tranquille à ce sujet. M-r Sol. maintiendra tout ce qu’il a écrit et signé de son nom à Paris. Il ajoutera seulement (et c’est là le point qui peut expliquer tous les bavardages qui ont cours), qu’il n’a nullement eu l’intention de condamner m-me Blav. au sujet de sa vie privée, laquelle ne nous regarde en aucune façon, mais qu’il la condamne sur le chef de toutes les

Тот же текст в современной орфографии

А потому… а потому от меня требовалось, — и m-me де Морсье поручалось сообщить мне это, — чтобы я немедленно прислал в Эльберфельд официальное письмо, в котором бы заявил, что все мои разоблачения «madame» — с моей стороны ложь и клевета на нее, и что я от всего этого отказываюсь. Если же я не исполню приказания, то сейчас же мне будет устроен, так или иначе, такой публичный скандал, который погубит меня и мою семью.

В заключение Гебгард советовал m-me де Морсье никому не показывать «документы по делу Блаватской» (le dossier Blavatsky), так как главный ее обвинитель — сумасшедший.

M-me де Морсье отвечала Гебгарду: «Je dois vous dire que je n’ai nullement l’intention de servir d’intermédiaire entre m-me Blavatsky et m-r Solovioff. Cependant, pour cette fois, puisque c’est vous qui avez cru devoir m’écrire en ami, vous me permettrez de vous répondre quelques mots. En premier lieu les affaires de la Société Théosophique ne me regardent plus, puisque j’ai donné ma démission de membre. C’est avec un soupir de soulagement que j’ai tiré une barre sur tout cela rendant grâce au Ciel. Quant aux preuves nouvelles que vous m’apportez sur le débat en question, avec un peu de réflexion vous comprendrez qu’elles n’ont pas de valeur pour moi. M-r Sol. est notre ami, il a vécu pendant des mois dans l’intimité de notre famille, nous avons donc quelques raisons de prétendre le connaitre fort bien. M-me Y. et sa fille (bien que j’aie vu la première quelques jours à Paris) sont de parfaites étrangères pour moi et leur parole ne peut pas tenir en face de celle de m-r Sol. Lorsque m-r Sol. viendra me dire à moi même ou m’écrira ce que vous prétendez qu’il a dit à m-me Y. — nous verrons, mais je suis fort tranquille à ce sujet. M-r Sol. maintiendra tout ce qu’il a écrit et signé de son nom à Paris. Il ajoutera seulement (et c’est là le point qui peut expliquer tous les bavardages qui ont cours), qu’il n’a nullement eu l’intention de condamner m-me Blav. au sujet de sa vie privée, laquelle ne nous regarde en aucune façon, mais qu’il la condamne sur le chef de toutes les